J'ai entendu dire que les américains, mais il est vrai que l'on prête beaucoup aux américains, auraient lancé un projet il y a de cela une vingtaine d'années, pour économiser le terrain d'atterrissage des aéroports. C'est vrai ça prend beaucoup de place les aéroports et l'économiser ne peut pas être dédaigné. L'idée aurait été de faire des pistes d'atterrissage de peu d'espace, en les verticalisants. Après deux essais coup sur coup ayant coûté la vie à plus de trois milles personnes, ce projet a été stoppé; l'ingénieur requis a fait du très bon boulot mais un défaut rédhibitoire empêcha d'aller de l'avant : les avions se sont fracassées sur les pistes verticales car ayant économiser sur la construction de celles ci, en réalité il recycla les tours du WTC de New York en piste d'atterrissage vertical et pour ça fut pourchassé jusqu'au Pakistan où il fut assassiné sans autre procès: son nom comme chacun sait n'est autre que l'artiste ingénieux et moyenâgeux Ben la Benne entrepreneur en travaux public en son état. Un slameur de toute première pointure. Toujours est il que depuis il est fortement déconseillé de voyager en avion; il arrive toute sorte d'essais que les compagnies n’annoncent pas tel qu'un atterrissage en plein désert mais sans parachute, ou en pleine mer pour une excursion vers le pôle sud, l'idée était l'économie de carburant avant toute chose; il arrive que l'on fasse des barbecues dans le cockpit, on appelle cela le jeu : "Au feu la viande grillé de l’air". Il s'est même produit un feu d'artifice en pleine mer avec des gaz qui sont partis en fumées, le reste aussi d'ailleurs. Certains avions ont voulu joué aux sous marin, aquarium d'humain pour poissons dépressifs, ils en redemandent d'autant plus que c'était un aquarium-restaurant avec humain à la carte: petits et grands et aussi vieux à laisser attendrir dans le sel de mer. Je ne vous dis pas la régalade. Donc laisser les avions aux fous qui volent à voile et sans vapeur dans les brumes des monts et nous simples cloportes rampant sur la terre de nos cimetières sans joie mais sans surprise allons à notre train...
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