Ça y est c'est pour demain, il faudra bien faire, en tuer le plus possible de ces porcs; la peur du ventripotent n'effraye que lui et saigne les jusqu'au dernier, qu'ils crèvent... Ils veulent me faire peur avec leur justice à la Créon et leur ostracisme, mais ils peuvent rien sur moi, je les baise à fond et eux ils baissent leur pantalon de petits bourgeois qui font dans leur froc. Peteux, bande de peteux on va vous faire peter, vous en chirez dans le falsar. Maintenant le mort arrive, je suis l'ange de la mort qui voyage avec l'âne de la bêtise, elle seule me donne de bons conseils et je donne la mort au hasard, seule la chance vous sauvera, rien d'autre ne vous sauvera, rien ne peut m'arrêter: Ha! vous m'avez considéré comme une petite merde, un con de ringard et un sans le sou, sans honneur, sans avenir, sans pouvoir, sans fric, sans femme et maintenant c'est moi qui décide et je vous emmerde bande de mécréant, vous crèverez la gueule ouverte, les vers sont votre devenir, plus d'avenir le futur est derrière vous, c'est votre derrière. Planquer vos miches bande de michets à la petite semaine. Priez de ne pas être sur ma route, ces soirs je ferais une épiphanie de cadavre, de mort, décédés en chaîne, en putréfaction, une odeur que bientôt qui vous sera votre et que vous reconnaîtrez entre mille. Crever, j'en crève de cette vie si petite, sans mot pour le dire qu'un autre le dit à ma place je le hais ce chien! Allons au bar tout faire sauter, faisons la bombe et Boum!!!! Santé, Fiodor.
Histoire suivante: Le retour du Maitre du Haut-Chateau Les Editions de l'An brouille Contact, et Accueil Crée le 8 août 2016 Mise à jour le 9 août 2016 Copyright © Paul Pinson 2016