Le Laborynthoire aléatoire

Cœurs

Tant de temps sans vole, puis épuisé sans puit rendre un tore boyaux, l'enfant mangé par ses paires de couilles meurt d'amour.

Attention épuisée. Pour un jour gagné à l'astuce, en marge d'un jeu.

Annonces

Ils jouaient avec les os de la grand mère. Celle-ci désechée regardait ses petits enfants aux sexes anguleux se goinfrés de pistache.

Vente de petits bonbons au poivre.

Alex, petit garçon stupide, toujours dans sa culotte faisait pour embeter le monde. Et cela marchait, sa mére fachée le fessé à tour de bras; quel joie d'être aimé autant qu'haïs.

 Oui ou non, quoi qu'ils déciderent ils avaient toujours tort où la raison du fou se laisse menée par le bout de son nez. La décision lui appartient, il l'a payée de sa vie. Tu meurs de ta tumeurs pauvre imbécile aux cils qui te crevent des yeux incommodes.

Laborynthe

Pensées laborythiques ou comment se perdre sans retour, et enfin plonger dans le vide des morts qui nous attendent pour un festin sans faim.


Dédales où se brulent les ailes d'un désir oublié; tentatives d'indéfinitions. Conduits, tunnels, tuyaux, canaux, couloirs, corridors, passage, goulot, galerie, souterrain, percée, trouée.


Le Laborynthe des rêves inaboutis, l'irréalité future, présente et des passés.

Revue par un jour d'été

Par un beau jour de printemps. la pluie vexée decidat de se retirer dans les plaines arides pour pleurer de toutes ses larmes de torpeur endormies

Insultes en forme de compliments